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I'm not like the others, and what ? [terminée]

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Ven 30 Nov - 18:16
© Arrogant Mischief sur Never Utopia
Anthéa Reid

« It hurts, doesn't it? It hurts when no one understands »


NOM : Reid
PRÉNOM(S) : Anthéa
SURNOM : //
AGE : 16 ans
MILLÉSIME : 15 juin
SEXE : Féminin
NATIONALITÉ : Canadienne
ORIENTATION : Hétérosexuelle
SITUATION : Célibataire
GROUPE : Néphilims
SIGNE ASTRO : Gémeaux
ÉLÉMENT : Air
POUVOIRS : //
OCCUPATION : Lycéenne et
serveuse dans un petit café


AVATAR : Chise Hatori -
Mahoutsukai no yome

DC's ? Sheila Morgan -
Kylie Magnus - Rowan Westfall

CARACTÈRE & PHYSIQUE
Mon caractère, n’est-ce pas ? Il n’est pas si difficile de me détecter et de mettre les points sur les “i”. De toute manière, je ne vois pas pourquoi je cacherais qui je suis réellement envers les autres, à quoi bon ? J’imagine que je pourrais commencer à citer mes qualités. Tout d’abord, je suis un tantinet curieux, mais j’ignore en quoi c’est une qualité ? Serais-je curieuse à apprendre de nouvelles choses ? Si c’est le cas, alors c’est tout à fait moi. Je suis une personne calme et ce dans n’importe quel situation qui pourrait être gênante pour certain. Pourquoi s’énerver pour un rien ? C’est ce que je me dis à chaque fois. Je suis débrouillarde, voulez-vous une preuve ? J’ai déménagé à Rosecreek pour m’inscrire au lycée et je paie le loyer du pensionnat avec l’argent que j'économise en travaillant au petit café les soirs et la fin de semaine. Je vis ma vie avec ce que je possède. Je suis ouverte d’esprit. Tu peux me dire ce que tu veux, je vais t’accepter tel que tu es, surtout que dernièrement… J’ai appris que je n’étais pas comme les autres, tout un choc, n’est-il pas ? Mais je l’ai accepté. Pour conclure mes qualités, on pourrait dire que je suis indépendante, à défaut de dire que je n’ai de besoin de personne pour avancer et bien… C’est la vérité. Je sais me débrouiller de mon côté sachant que ça sera fait correctement. C’est peut-être terrifiant pour les autres, mais bon… Ça fait de moi qui je suis aujourd’hui. Je n’ai pas honte de moi-même.

Passons au défauts désormais ! Le moment que vous attendez le plus, je le sens. Je sais citer mes qualités aisément, mais vous vous demandez si je serais capable de faire pareil pour mes défauts, n’est-ce pas ? Je vais vous dire que… vous avez raison ! Je suis une personne que l’on pourrait dire d’impatiente ? Non, mais on va se le dire, d’accord ? Quand vous prenez dix ans à commander quelque chose d’aussi simple vous pouvez sentir le petit tapement de pied qui se fait entendre ou même envers les gens qui marche trop lentement et qu’il n’y a pas de place pour dépasser… Je déteste ! Je suis jalouse et je l’affirme à haute voix ! Je jalouse les gens qui ont tout dans la vie, mais ça m’empêche pas d’avancer, détrompez-vous… C’est juste que ces personnes chialent alors qu’ils ont de belles notes disons 90% et ils ne sont pas satisfait de le leur note. Parfois j’ai envie de les secouer ardemment tout en leur criant dans leurs oreilles. J’arrive à peine à avoir un 70% alors… Oui, je jalouse ce genre de personne. Renfermée c’est moi tout craché. Pourquoi ? Je ne m’ouvre pas aussi facilement aux autres, car je ne sais pas pour vous mais raconter ma vie à une personne que j’ai rencontré v’là 10 secondes, non merci. Je garde même quelques informations pour moi-même alors m’ouvrir à quelqu’un, c’est difficile. Je suis quelqu’un de solitaire, parfois ça peut être une bonne chose, car je fais tout toute seule sachant que ça sera bien fait, mais dans un sens je ne fais pas d’effort pour m’approcher des autres. De quoi j’ai peur ? Et bien de tout. J’ai peur de souffrir à nouveau. Sans oublier que je suis secrète. J’ai tout le temps mes petits secrets, c’est d’ailleurs mon professeur d’histoire qui me l’a fait remarqué. J’ai été étonnée, mais il est vrai que je ne m’ouvre pas aux autres, comme si je renfermait plusieurs secrets dans un livre. Il n’a peut-être pas tord après tout.

La toute première chose que les personnes remarquent chez moi, ce sont mes cheveux. Ils sont courts, mais assez long pour que j’y fasse une queue de cheval et ils sont de couleurs rouges. Disons un rouge-orangé avec une frange qui couvre l’entièreté de mon front. Mes yeux sont de couleurs verts tel qu’une pierre précieuse que l’on surnomme “émeraude”. Mon visage est ovale et j’ai le teint pâle. Parfois lorsque je fais des nuits blanches, des cernes apparaissent sous mes yeux. J’essaie de le cacher grâce à du maquillage, disons plus du cache-cerne. Sinon je fais 5’1” et je pèse environs 54 kg. Niveau vêtement je porte soit une jupe, soit un short ou même un pantalon. Le haut ça n’a aucune importance sans oublier mon fameux manteau vert, la même couleur que mes yeux, lorsqu’il fait un peu froid. Oui, oui, je suis frileuse. Sinon, je semble plutôt à ça et il n’y a plus grand chose à y dire.

RACONTE MOI UNE HISTOIRE
Cher journal,
Je suis Anthéa Reid et j’ai 16 ans. Je suis née le 15 juin et je suis une Néphilim. Qu’est-ce qu’une Néphilim ? C’est une union entre un humain et avec un Maudit ou un Chérubin. À la mort de cette personne, elle devient un Néphilim. Partagé entre le bien et le mal. Elle arrête de vieillir. La personne peut mourir de n’importe quel façon… Tu veux savoir comment je suis morte n’est-ce pas ? Je vais te le dire, mais tout d’abord je vais te raconter mon histoire pour que tu comprennes du comment et du pourquoi, mais je n’arrive pas à trouver le pourquoi. Je trouve ma mort injuste, mais à toi de le juger si j’ai raison ou non…

Je suis née à Toronto dans un appartement assez large pour une famille de trois. Mon père et ma mère. Ils se sont rencontrés aux lycées et ils sont tombés follement amoureux l’un de l’autre. Le coup de foudre, d’après leurs dires et je peux les croirent. Malgré leur amour commun, ils ont réussi leur vie. Ma mère est devenue agente immobilière et mon père est devenu médecin légiste. Oui, je sais, travailler avec des patients morts était sa passion depuis qu’il était tout petit.

En grandissant je n’ai manqué de rien. Une vie parfaite ? Presque, car mes parents travaillaient souvent et je me retrouvais souvent toute seule lorsque je revenais de l’école. J’ai appris très jeune à me faire à manger, à faire la lessive, à faire le ménage, tous les tâches quotidiennes qu’un adulte fait. Tous les deux étaient trop occupés pour engager une nounou pour me garder, donc je devais me garder toute seule. La voilà la raison du pourquoi je suis renfermée et solitaire aujourd’hui. Et à l’école je n’avais pas beaucoup d’amis avec qui passer du temps. J’étais la fille du “docteur frankenstein”. Est-ce qu’on me défendait ? Non, mais je m’arrangeais comme je le pouvais. Même un soir assise à la table à manger avec mes parents autour d’un bon repas, je leur déclarais que l’on se moquait de moi. Ma mère compatissait, mais ne faisaient rien tandis que mon père a déposé une main sur mon épaule en répliquant.

«Tu sais ma petite Anthéa, il faut que tu saches t’affirmer dans la vie et des fois il y a des combats qu’il vaut mieux abandonner, car s’en vaut pas la peine. Ils moquent de toi ? Montre-leur que tu es plus mature qu’eux.»

Je savais que mon père avait raison à ce moment précis dans la vie. Les ignorer était la clé, mais ce n’était pas assez. De jour en jour ça devenait pire. Ils m’intimidaient et me faisaient du mal. J’en ai eu assez. Je leur ai donné ce qu’ils méritaient. Un bon poing en pleine figure. Qui qui a eut une suspension de trois jours ? Moi. Et les autres ? Rien. Injuste ? Certainement, mais ça m’a permit de rester à la maison et à terminer mes travaux. Mais depuis ce jour, personne ne venaient m’embêter. C’est drôle n’est-ce pas ? Je m’en fichais et je devenais transparente pour eux. Je donnais le meilleur de moi-même jusqu’au lycée. Cinq années à passer avant la pré-université. Je terminais haut la main la première, la seconde ainsi que la troisième, mais je n’ai jamais pu entamer la quatrième année. Pourquoi ? Car c’est là que tout s’est écroulé.

Ma mère était à la maison ce jour-là et je revenais de l’école. La porte était entrouverte. Le coeur battant contre ma poitrine j’entrais dans la maison. Aujourd’hui je regrette de ne pas avoir composé le numéro de la police et d’être rester loin de l’appartement. Pourquoi je dis ça ? Vous verrez bien assez tôt. Donc… En entrant dans l’appartement ma mère était à genoux les mains derrières la tête versant des larmes et derrière elle se trouvait un homme armé. Il portait un masque d’un film d’horreur. Il était deux, car je sentais un pistolet au niveau de mon crâne. À ce moment là je ne bougeais plus, je levais même mes mains en signe que je ne ferais rien de stupide. Je me rappellerais toujours de cette scène :

«Met-toi à genoux, petite.»

Je m'exécutais rapidement sans la moindre parole. Ma mère levait son regard pour me regarder murmurant qu’elle était désolée. Désolée de m’avoir embarquée là-dedans ? Va savoir. Mais mon coeur battait très fort contre ma poitrine.

«Bien.» L’homme me contourna pour se mettre en face de moi en pointant son arme au niveau de ma tête. «Peut-être que toi tu nous diras où se trouve l’argent de tes parents. Alors où est l’argent ? Je te promet que dès qu’on a l’argent, on partira comme si on avait jamais existé.»

Je restais silencieuse. L’homme s’était mit en face de moi exprès pour ne pas que je regarde ma mère. Je fermais les yeux en inspirant doucement pour tenter de me calmer avant de lui répondre.

«Dans un coffre-fort qui se trouve dans la chambre à mes parents. Il est dans le garde-robe. Le code : 1506.»

Le jour et le mois de ma naissance. Il se tournait vers son camarade comme s’il venait toucher le gros lot. Intérieurement j’espérais que le code n’avait pas changé, sinon on était fichu, ma mère et moi. On entendait quelques minutes avant que son camarade reviennent avec le sac plein.

«La petite n’a pas menti. Dis, on ne devrait pas l’emmener avec nous ? Elle fera une excellente partenaire de crime, pas vrai ? Ses cheveux et ses yeux… Ces rares de nos jours...»

«Tu n’as pas tord. Dis petite, ça te branche de venir avec nous ?»

«Non!» hurlait ma mère. «N’emmenez pas mon enfant ! Vous avez eu ce que vous voulez, mais pas ma fille.»

«Ce qu’elle est emmerdante !»

Un coup de feu. Je faisais des gros yeux. Ça faisait mal. Tout se passait au ralentie. Je regardais l’homme me sentant tomber en atterrissant au sol je voyais ma mère toujours en pleure.

«Merde ! Qu’est-ce qu’on fait de la mère ?»
«On la tue et on se tire.»

Un autre coup de feu en pleine tête qui était adressé à ma mère ce fois. Je tendais une main en sa direction, mais je savais que je ne pouvais pas l’atteindre. Je mourrais à petit feu, mais elle… Elle était morte. Des larmes coulaient le long de mes joues avant de se fermer complètement. J’étais morte. Du moins c’est que je croyais, car au bout de plusieurs heures ou jours plus tard, je me réveillais dans un lit d'hôpital. Mon père me tenait la main. Il était triste. Il pleurait. Il s’en voulait.

«Papa ? Pardonne-moi, maman est...»
«Je sais ma puce, ce n’est pas de ta faute. Je n’étais pas là pour vous protégez.»
«Mais… j’étais censée être morte… On m’a tiré dessus, comment est-ce possible ?»
«Car je ne suis pas un humain. Je suis un chérubin, ta mère était humaine. Ce qui fait de toi une Néphilim aujourd’hui. Tes compétences sont toujours inconnus pour nous, mais… Tu ne vieilliras plus.»

Ce qu’il m’avouait ne faisait aucun sens, mais d’un autre côté. Je ne pouvais plus rester à Toronto. Il fallait que je quitte cette vie et que j’aille vivre ailleurs. Dès que j’ai eu l’occasion de sortir du lit d'hôpital, je faisais mes bagages. Laissant mon père continuer à vivre sa vie là-bas. Je lui promettais de lui écrire à tous les jours via les réseaux sociaux et de lui donner de mes nouvelles. Il n'appréciait pas mon choix, mais il me laissait quand même partir. Il me donnait un peu d’argent pour le voyage et je m’arrangerais avec le reste. Une petite voix me susurrait de venir emménager à Rosecreek. Ce que je fis sans problème. Je louais une chambre dans un pensionnat et je me trouvais un petit boulot dans un café.  

Donc cher journal,
Je suis Anthéa Reid âgé de 16 ans étudiant au lycée de Rosecreek. Une Néphilim, fille d’un chérubin et d’une humaine. Ceci était mon histoire, mais ce n’est guère la fin. J’ai d’autres pages à t’écrire journal ! Attend la suite ! Une nouvelle vie se démarre dès demain.

I'm not like the others, and what ? [terminée] 2425352
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Anthéa Reid
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Localisation : Au petit café
Anthéa Reid
Ven 30 Nov - 18:28
Tu es validée !
Amuse-toi bien sur le forum !
Bienvenue à toi, jolie rouquine aux yeux d'émeraude ! 16 ans, le bel âge... Tu ne cessera jamais de m'étonner avec tes jolis personnages. I love you Pour la suite, tu sais quoi faire. Amuse-toi bien sur le forum !

Tu es maintenant validé(e) ! Bienvenue parmi les néphilims ! Lorsque tu es validé(e) tu peux aller faire une demande dans le bottin d'avatars afin que personne ne puisse prendre ton personnage. Ensuite je t'invite à créer ta fiche de liens,ta fiche de répertoire de rp ainsi qu'une demande de rp si tu te sens déjà d'attaque pour rp ! Il y aura certainement quelqu'un qui voudra rp avec toi ! Bon jeu. ▬ Le Staff
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Natsuko Mori
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